château abandonné nord de nantes
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château abandonné nord de nantes

12 Fév château abandonné nord de nantes

À la différence du château de Langeais, de structure similaire et exactement contemporain, le château des ducs de Bretagne demeure cependant une vraie forteresse, et l'extérieur est dépourvu de grandes fenêtres[NF 11]. Il devait servir à fabriquer et entreposer armes et munitions, qui pouvaient être envoyées dans les arsenaux de la côte en cas de besoin[GA 60]. Deuxième étage de la tour de la Boulangerie. Le peintre anglais Turner, qui visite Nantes en 1826, réalise ensuite plusieurs aquarelles de la ville, dont des vues extérieures du château. Au cours du XIIIe siècle enfin, bien que les ducs bretons de l'époque soient d'origine capétienne, ils cherchent de plus en plus à affirmer leur autonomie vis-à-vis du roi de France, ce qui motive sûrement l'ajout de la seconde cour[BG 2]. Le petit escalier, du côté du Grand Gouvernement, est plus haut et il dessert le toit en terrasse de la tour[ME 4]. Cette courtine est composée de trois niveaux superposés, les deux premiers appartenant à la construction d'origine. Elles représentent des créatures choisies pour leur puissance symbolique : le lion, le sanglier, un animal à écailles qui est peut-être un dragon, et un corps de singe à visage humain[GA 59]. Les loggias de Nantes, commandées par Anne de Bretagne, sont peut-être l'œuvre de Jean Perréal, architecte de son époux Charles VIII. Louis XIV, dernier roi de France à loger au château, y séjourne en 1661. La courtine semble au départ avoir été beaucoup plus basse, car avant le nivellement de la cour intérieure, le sol était également plus bas de plusieurs mètres. De façon générale, le château est rarement représenté pour lui-même avant le XIXe siècle et la période romantique car les artistes s'attachent plus à retranscrire un paysage urbain général ou bien l'activité portuaire de la ville[GA 70]. Ce dessin, disparu, n'est connu qu'à travers une contre-épreuve. Tourism Bureaus: Comité Régional du Tourisme des Pays de la Loire (CRT) 2, rue de la Loire, BP 20411, F-44204 Nantes Cédex 2 Phone: (+33) 02.40.48.24.20; Fax: (+33) 02.40.08.07.10 Le monument apparaît également sur une toile du peintre français Pierre Justin Ouvrié, La Loire devant le château[GA 72]. LoyalUrbex : abandonne chateau nantes L’exploration urbaine ou urbex, est une activité consistant à visiter des lieux, abandonnés ou non, en général interdits d'accès ou tout du moins cachés ou difficiles d'accès. Une tour d'escalier secondaire se trouvait à l'angle du Grand Gouvernement et de l'aile en retour, faisant écho à la tour de la Couronne d'Or située à l'autre extrémité du logis[GA 34]. Les quatre principaux meneurs de la Conspiration de Pontcallec (Pontcallec, Montlouis, Talhouët et du Couëdic) sont détenus au château en 1719[BG 19]. Le décor des salles suggère, avec des cloisons en bois, les cales de bateaux négriers[CO 13]. Le rez-de-chaussée présente le même plan, mais des cloisons et des portes ont été successivement ajoutées, et les deux petites pièces ont été réunies en une seule au début du XXe siècle. Les travaux, et leur ampleur, répondent d'abord à un besoin défensif, mais aussi à une volonté pour François II de montrer son indépendance politique et la richesse de son duché. Ainsi, le château n'est plus soumis aux inondations de la Loire dans sa partie la plus basse. Car si l’on reste émerveillés devant certaines photos de spots incroyables (navire militaire, châteaux…) la divulgation des lieux ont entrainé une vague de dégradation, mettant en péril l’essence même de l’urbex. Au XVIIIe siècle, la tour a été surmontée d'une petite construction de deux étages, similaire à l'aile adjointe au Petit Gouvernement voisin. Le château comprend par exemple sous Anne de Bretagne une bibliothèque de près de mille cinq cents ouvrages[GA 9]. La courtine nord s'étend sur 48 mètres et elle est formée de trois pans désaxés. Downtown Nantes is only 20 minutes away by car, and Beaujoire Stadium and Nantes Exhibition Park are 10 minutes away. Une canonnière protégeait cette entrée. En 1495, sa cour féminine comprend trente-neuf dames, qu'elle doit loger lors de ses déplacements[GA 9]. Dans les années 1950, la démolition du Harnachement, puis l'arasement de ses deux derniers niveaux, furent envisagés, afin de rendre à la cour toute sa superficie et de rendre à nouveau visible la tour du Fer-à-Cheval[GA 16]. La forme en fer à cheval permet d'éviter les angles morts et d'augmenter le nombre des axes de tir, faisant de la tour un véritable bastion arrondi[CN 1]. Le donjon circulaire, qui doit faire au moins 35 mètres de haut[GA 6] pour une circonférence de 16,70 mètres, est en schiste gris, et il est complété par une enceinte de 30 mètres de côté, protégée par quatre petites tours et ouverte par deux portes[BG 1]. Bretagne : Musée de Pont-Aven Dès le XVe siècle, le château a en outre servi d'argument nantais dans la dispute opposant Nantes et Rennes pour le titre de capitale bretonne[GA 76]. Auparavant, elles étaient vraisemblablement couronnées de flèches en retrait, comme sur le Fer-à-Cheval. Les salles consacrées à l'esclavage offrent cependant une rupture dans la muséographie. Les deux tours du château sont distantes d'une trentaine de mètres, et elles sont situées à des points d'inflexion de la muraille[GA 65]. Construit à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle[21], en bois sur de hautes piles maçonnées, il permet de traverser les douves et de relier le château à l'extérieur. Pierre Ier, duc de Bretagne, y séjourne souvent (sept séjours documentés)[GA 7] tandis que Jean IV[CB 2] et Arthur III[CB 3] y sont morts. Le temps de visite est estimé à trois heures par le musée, mais des circuits plus courts sont proposés selon des thématiques, par exemple le musée en vingt objets, le château d'Anne de Bretagne, visite familiale, ou encore l'esclavage. Elle fait aussi 18 mètres de haut. Maquette de Nantes à la fin du Moyen Âge et tapisserie des États de Bretagne. Il est coiffé à son sommet d'une voûte en palmier qui repose sur la vis. L'ensemble est agrandi par Pierre de Dreux et par Jean Ier au cours du XIIIe siècle. Après 1945, de nombreux travaux sont effectués sur le monument, mais les budgets alloués ne permettent pas d'opérations de grande envergure. Elle fait quinze mètres de haut pour une dizaine de mètres de diamètre. Marie Stuart, reine d'Écosse, alors enfant, séjourne au château en 1548[33]. Les travaux commencent dès 1466 par les caves des logis et par les terrassements, puis les premières élévations et les courtines sont entamées. . Ce mur, muni de meurtrières, est de qualité médiocre par rapport au reste de l'enceinte[GA 11]. Il fait aussi office de prison, et notamment pour les prisonniers de marque, car la prison pour le droit commun se trouve au château du Bouffay. La tour a cependant été terminée sous François II, même si c'est Anne de Bretagne qui a fait construire la façade côté cour. La tour du Pied de Biche doit son nom à la forme d'un cachot qu'elle contenait, tandis que la tour de la Boulangerie doit son nom à la boulangerie qui se trouvait dans son sous-sol. Son emplacement précis n'est pas connu[GA 2]. Louis XII épouse Anne de Bretagne dans la chapelle du château en 1499[CN 6], la cérémonie étant conduite par le cardinal de Rouen[JSG 3]. Situé dans un domaine breton, en bordure de rivière, se trouve un magnifique château abandonné. Jusque dans les années 1920, le monument était simplement appelé « château de Nantes », terme neutre qui le rattache simplement à sa ville. En 937, le duc Alain Barbetorte avait déjà fait construire une tour dans ce secteur[GA 1]. Le nouveau château est également un moyen de signifier la puissance ducale face aux comtes de Nantes, qui résident au Bouffay. Son évasion serait à l'origine de la chanson populaire Dans les prisons de Nantes[PC 2]. Le dernier roi venu au château est Louis XIV. Jusqu'aux années 1930, il était bordé au sud par un bras de la Loire, le bras de l'Hôpital[JSG 1], depuis comblé et remplacé par le cours John-Kennedy. Son environnement avait changé depuis, puisque le cours Saint-Pierre avait été créé de l'autre côté, et que la modification du niveau de la cour du château et la construction de la rue Prémion avaient bouleversé ses abords. Exit l’étroit parvis et l’enfilade de couloirs de bus, voitures et taxis : l’accès à la gare est désormais une longue esplanade piétonne, parsemée d’îlots végétalisés et de bancs pour attendre son train ou son tram. Lors de la construction du nouveau château par François II, la Tour Neuve n'a été que partiellement démolie, et le remblaiement sur plusieurs mètres de la cour a enfoui ses restes. Anne fait notamment ajouter des loggias et une flèche au-dessus de la principale tour d'escalier, et les lucarnes du Grand Logis, édifiées dans un style flamboyant, sont ornées du chiffre d'Anne et de Louis XII. Les caves du logis étaient initialement destinées à devenir les deux cuisines, mais pendant le chantier de construction, le rehaussement de la cour du château a nécessité leur déplacement au rez-de-chaussée[GA 21]. Alors que depuis la cour le visiteur voit surtout les façades en tuffeau des logis, c'est un tout autre visage que le château offre de l'extérieur. Le théologien Jean Le Noir meurt dans sa cellule en 1692[PC 1]. Discover the restaurant BUFFET DE LA GARE NORD in Nantes: pictures, reviews, the menu and online booking in one clickBUFFET DE LA GARE NORD - - Loire-Atlantique Nantes 44000 La surface du mur est plane et la seule décoration vient de l'accolade et des corniches des fenêtres. La déflagration fait entièrement sauter la tour, ainsi que les édifices voisins. Dès le XVIe siècle, la population nantaise craint ces cachots, et « se faire menacer du Pied de Biche » devient une expression consacrée[PC 11]. L'escalier, destiné au départ à la tour de la Rivière voisine, dessert aussi les étages du Petit Gouvernement[GA 38]. Les gouverneurs de Bretagne, représentants du roi dans la province, ne résident plus à Nantes, mais ils se font remplacer par un intendant qui loge à Rennes. En partie détruit par un incendie au XVIIe siècle, il est reconstruit dans le goût de l'époque par Louis XIV, mais l'explosion de la tour des Espagnols en 1800 l'ampute largement[CO 3]. La fenêtre de l'étage côté cour présentait autrefois un décor inhabituel et remarquable, détruit dans les années 2000. Le pont de Secours est un pont secondaire, situé au nord du château. La lucarne est amortie par un grand gâble, encadré par des pinacles et par la tourelle d'escalier. Les bâtiments sont en très mauvais état ; le Grand Logis est fermé depuis les années 1970 à cause de son délabrement, et seuls deux niveaux sont encore ouverts dans le Grand Gouvernement. Le bastion Saint-Pierre a été construit au XVIe siècle sur les ordres du duc de Mercœur, afin d'adapter le château à l'artillerie moderne. La terrasse a disparu, mais ce côté a été conservé. Elle est bâtie sur le modèle des « tours philipiennes », donjons circulaires massifs construits par le roi pour protéger son royaume[BG 1], comme les donjons de Châteaudun, Lillebonne et Rouen (tour Jeanne-d'Arc). Avant sa construction, l'emplacement était occupé par la terrasse du Levant, élément bastionné construit par le duc de Mercœur au XVIe siècle. Une porte est tournée vers la ville, l'autre vers la campagne. Les courtines et les tours, aux murs épais de schiste et de granit[GA 41], sont basses et munies de chambres de tir situées au niveau du sol, qui permettaient de tirer au ras des assaillants, tandis que les terrasses sur les tours pouvaient accueillir des canons qui tiraient en hauteur[CN 1]. En 1911, alors qu'il est une propriété de l'État, une convention entre le ministère de la Guerre et la municipalité permet d'échanger le château contre l'ensemble « Couvent de la Visitation- Caserne Bedeau » appartenant à la ville, et qui abrite déjà un régiment d'artillerie[14]. Positionnée au sud du châtelet et contre les logis ducaux, elle était en symétrie avec la tour des Espagnols. Le château reste aux mains de l'armée jusqu'après la Première Guerre mondiale. Certains événements, comme Le Voyage à Nantes l'été et des expositions temporaires, entraînent une augmentation significative du nombre de visiteurs. Malgré les usages très variés qu'il a connus au fil de son histoire, le château demeure étroitement lié au souvenir de la Bretagne ducale, même s'il n'a été construit dans sa forme actuelle qu'à la toute fin de cette période de l'histoire bretonne. Ces tours adoptaient toutes un plan polygonal, mais le Vieux Donjon est la seule qui soit conservée lors de la reconstruction du château au XVe siècle. François II, duc de Bretagne, reconstruit le château et en fait sa résidence principale[BG 5]. À l'origine, les tympans des lucarnes portaient les symboles de Louis XII et d'Anne de Bretagne : des L et des A accompagnés des armes de France et de Bretagne[GA 22], décor disparu puis partiellement recréé lors d'une restauration en 1861[ME 2]. Cette cour ainsi que le donjon sont vraisemblablement les tout premiers éléments construits, au début du XIIIe siècle. Le duc de Mercœur a aussi écroué au château le maire de Nantes, Charles Harouys, et d'autres seigneurs loyalistes en 1589[PC 3]. En 1777, le château accueille son dernier visiteur de rang royal, le comte d'Artois, futur Charles X[CB 6]. La tour a servi d'entrepôt de poudre pendant la Révolution, et l'effondrement d'un plancher a provoqué son explosion en 1800[BG 24]. Le nouveau roi vient à Nantes et il y signe l'édit de Nantes, édit de tolérance qui accorde des droits aux protestants français[BG 16]. À la fin du XXe siècle, le château montre pourtant des signes d'usure profonde. « Je n'ai visité la cathédrale de Nantes, pour y voir le tombeau de François II, qu'à vingt-cinq ans, et le château de Nantes, admiré par Henri IV (je ne sais si je dois rougir d'une telle indifférence aux, « c'est là, en effet, que nos ancêtres luttèrent pour l'indépendance de cette Bretagne qui nous est toujours chère et nos régiments ont prouvé au monde entier qu'ils possédaient les hautes vertus ». Lors d'un séjour en 1661, alors qu'il est venu assister aux États de Bretagne, il profite de son éloignement de Paris pour faire arrêter Nicolas Fouquet[BG 20]. Le couvent des Visitandines, datant de 1630, a été le premier de tous les bâtiments de la Défense vendu au privé après le départ de l’armée de Terre de Nantes, en 2010. Les objets présentés sont très divers : peinture, sculpture, plans, maquettes de bateau, affiches, photographies, films, éléments architecturaux, mobilier, ou encore outils[CO 10]. » Gustave Flaubert a visité Nantes et il a vu son château, qu'il décrit dans Par les champs et par les grèves. Les deux loggias, situées dans les niveaux supérieurs, figurent parmi les rares loggias Renaissance de France. Guy de Thouars, issu des Capétiens, était en outre soutenu par Philippe Auguste dans son rôle de régent de la Bretagne. Avant les travaux des années 2000, le château ne voyait que 330 000 visiteurs par an, et pour la réouverture de 2007, la ville ne projetait que 500 000 visiteurs annuels[25]. Le château organise aussi des lectures et débats liés à l'histoire et l'actualité (Échos) et un festival pour enfants (À nous le château). Exécutées dans un style gothique flamboyant, elles adoptent un plan uniforme, avec une fenêtre inscrite dans une arche surmontée d'un gâble, le tout encadré par deux piliers terminés par des pinacles, qui sont reliés au gâble par un réseau de pierre transparent[GA 22]. Le comblement du bras de la Loire dans les années 1930 a bouleversé les abords du château : désormais, il n'est plus bordé par le fleuve. Normandie : Musée d'art moderne André-Malraux • Musée des Beaux-Arts de Rouen Le château a servi de décor pour le ciné-roman Jean Chouan de Luitz-Morat, sorti en 1926[27]. Comme son nom l'indique, elle possède une forme en fer à cheval, et elle fait 30 mètres de long pour 18 mètres de large. Cette tour a disparu en 1800 et il n'en reste que les fondations, visibles dans les douves. Le château … Le petit escalier de la tour, qui ne commence qu'à partir du premier étage, semble avoir été rajouté au moment même de la construction sans avoir été projeté plus tôt. Malgré les trois travées de gauche restées de style gothique, le Grand Gouvernement devait offrir un visage monumental. Elle est alors incorporée dans l'aile en retour du Grand Gouvernement, et ses étages font partie du logement du lieutenant du roi[GA 57]. Celle-ci a entrepris de lui restituer son toit conique et la décoration des fenêtres[SD 5]. Au XXe siècle, il a ainsi figuré à l'agenda de trois visites présidentielles, celle de Gaston Doumergue en 1930, et celles de Charles de Gaulle en 1948 et en 1960. Avant la campagne de restauration, il ne possédait plus extérieurement d'éléments architecturaux gothiques. Elle comprend en son centre une poterne. Ces objets sont venus étoffer la partie consacrée à l'histoire contemporaine, notamment lors d'une refonte partielle des salles en 2016[CN 5]. Soutenu par la plupart des cités bretonnes ainsi que par l'Espagne, le gouverneur fait du château une forteresse moderne, prête à se défendre contre les forces du roi. L'incendie est très mal documenté, et sa cause n'est pas connue, tout comme son envergure et sa date exacte. Anne a également montré à Loches le même intérêt pour les pièces offrant des espaces ouverts et des vues étendues[GA 28]. Néanmoins, le véritable commanditaire du château ne peut être connu précisément. Le caractère imposant du monument réside dans ses grandes lucarnes, qui évoquent celles de Blois[ME 2], d'Amboise, de Meillant et du Verger[GA 22]. Les fouilles archéologiques des années 2000 ont montré que cet escalier était identique en taille à celui de la Couronne d'Or, avec un diamètre de 4,20 mètres[GA 32]. Au fil du XXe siècle, la charge symbolique bretonne du château s'est développée, notamment sous l'impulsion du conservateur Joseph Stany-Gauthier, en poste des années 1920 aux années 1960. L'aspect esthétique est appuyé par les mâchicoulis bretons, qui n'ont qu'une fonction décorative car ils ne sont pas percés d'ouverture[CN 1]. Les archives conservent en effet la trace de travaux de creusement d'une douve à l'emplacement du château en 1207[GA 3]. Château de Montjean probablement que ce n’était ni au duc de Mercœur […] ni au cardinal de Retz […], et pas davantage à la reine Anne […]. Le chemin de ronde sur la tour du Pied de Biche. Le grand escalier qui relie la cour à la courtine, et qui jouxte le Grand Logis, a été ajouté au XVIe siècle par le duc de Mercœur[CN 1]. Cette grande hauteur de plafond posait cependant des contraintes au niveau de l'escalier à vis qui dessert les étages. Il accueillit le musée de la Marine en 1956[GA 61], et il sert depuis 2007 aux expositions temporaires du musée d'Histoire de Nantes. Ce nouveau mariage offre plus de liberté à la duchesse, qui revient à Nantes et fait exécuter des transformations sur le château. Château des Dervallières: Nantes: Manoir de la Dixmerie: Le Loroux-Bottereau: Château des ducs de Bretagne: Nantes: Château de Dréneuf Héric: Bâti au XV e siècle et remanié aux XVIII e – XIX e siècles. À la mort de François II en 1488, le Grand Logis n'est probablement pas terminé. La base forme un heptagone, et la structure en fer comprend sept poulies[ME 11]. Ce pont, transformé de multiples fois, avait disparu en 1863, mais sa reconstruction a été décidée pendant la campagne de restauration des années 2000. Pour l'historien André Mussat, le Vieux Donjon présenterait peut-être la première occurrence de mâchicoulis bretons, caractérisés par des consoles en pyramide inversée, mais la tour a été transformée à plusieurs reprises, et son aspect remonte surtout au XVe siècle[SD 6]. City-center hotel within easy reach of Machines of the Isle of Nantes • Free WiFi • Sauna • 24-hour fitness center • Bar • Central location; Best Western Plus Hotel de la Regate. En 1487, appelé par Françoise de Dinan et les barons bretons, le roi Charles VIII envahit la Bretagne. Ils passent la nuit au château, puis le lendemain ils repartent par la même porte pour faire leur entrée triomphale à la Fosse[ACD 1]. Le nouveau château est plus vaste que la Tour Neuve, et il est aussi beaucoup plus ambitieux puisqu'il doit contenir la cour et l'administration ducales ainsi que leurs personnels. Nantes est alors la ville la plus riche de Bretagne, et aussi sa principale porte d'entrée grâce à son port sur la Loire. Ses trois pans sont assez différents les uns des autres. Des chefs de conspiration ou des intrigants politiques sont ainsi enfermés au château, comme Henri de Talleyrand-Périgord, enfermé dans la tour des Espagnols avant son exécution[BG 18], et en 1719, les coupables de la conspiration de Pontcallec[BG 19]. Durant le XIVe siècle, la Bretagne connaît une guerre de succession, qui oppose la dynastie de Penthièvre à celle des Montfort. Le château est surtout occupé par des militaires retirés du service et des invalides[BG 19]. Vaste édifice rectangle haut de deux étages, il occupe un fond de cour, le long de la courtine sud-est. Une statue signée Jean Fréour représentant la duchesse Anne est d'ailleurs placée devant l'entrée du château pour rappeler la place qu'elle tient dans l'histoire du monument[GA 75]. Ils y enferment également les requis du Service du travail obligatoire en 1943[GA 14]. Une grosse tour circulaire en schiste denviron vingt mètres de diamètre, et de hauteur, appelée Tour Neuve, bâtie sur le modèle des tours capétiennes, est alors construite. The town of Foix probably owes its origin to an oratory founded by Charlemagne, which afterwards became the Abbey of Saint Volusianus in 849. La tour des Jacobins faisait face au couvent des Jacobins de Nantes. Le Petit Gouvernement est peut-être l'œuvre de Philibert Delorme, architecte des fortifications de Bretagne de 1545 à 1558[ME 6]. Abandonné depuis 1959, cet ancien théâtre est resté en l'état. La hauteur des logis par rapport aux tours défensives inverse d'ailleurs le rapport traditionnel entre ces deux éléments[GA 20]. Château Thumeries (59) Golf de Thumeries-Moncheaux, excellente situation à 25 min de Lille et 1h45 de Paris ; construite au début du XXe siècle, la demeure principale offre 750 m2 habitables sur 3 niveaux et est bâtie sur une parcelle de près de 4,5 hectares. Elle fut parfois appelée « tour des Anglais », en référence aux Anglais qui y ont été détenus à l'époque moderne[ME 8]. Pierre Ier semble être le duc qui a passé le plus de temps à la Tour Neuve, et il est même envisageable que ce soit lui, plutôt que Guy de Thouars, qui soit à l'origine de sa construction, qui aurait pu intervenir entre 1216 et 1237[GA 3]. Des fouilles archéologiques menées entre 1922 et 1945, en 1992 puis de 2001 à 2007, ont permis de retrouver ou de restituer la totalité du tracé du rempart sous l'emprise du château[GA 63]. Les documents historiques étant lacunaires, il est d'abord suggéré de construire une structure moderne en verre, mais les flèches sont reconstruites en définitive dans une optique de restitution historique, selon les principes de la Renaissance[CO 8]. » J’avois ma réponse toute prête, et en même temps je vois sortir par la petite porte M. de Lavardin […] qui vient me donner la main, et me reçoit parfaitement bien […] Je soupai fort bien ; je n’avois ni dormi, ni mangé de vingt-quatre heures. À cette même époque, les deux lucarnes extérieures, qui avaient été détruites au XIXe siècle pour permettre le passage du chemin de ronde dans les combles, furent restituées d'après un dessin du peintre hollandais du XVIIe siècle Lambert Doomer[GA 40]. Elle a été construite suivant le plan classique des tours à canons bretonnes du règne de François II. L'application France Bleu vous permet d’écouter la radio en direct, de suivre l’actu de votre région, d'écouter vos émissions et podcasts favoris ! Le rez-de-chaussée offre des ouvertures simples et disposées de façon irrégulière, mais les ouvertures des étages sont organisées en travées, avec un décor feuillagé présent sous l'appui, dans l'ébrasement, et surtout dans le gâble qui couronne chaque fenêtre. Les premiers vrais travaux de restauration sur le reste du château sont ensuite conduits en 1855[BG 25], et le château fait partie des premiers monuments historiques désignés par Prosper Mérimée en 1840[12]. La reconstruction a finalement été décidée par l'architecte des monuments historiques, pour qui les flèches avaient une valeur architecturale forte, puisqu'elles inscrivaient le château dans le paysage de la ville. Ainsi, un bonnet phrygien est placé sur le bastion Mercœur, et la devise de la république est inscrite au-dessus du porche d'entrée[BG 23].

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