guerre de vendée résumé
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12 Fév guerre de vendée résumé

Confronté à une mémoire vive et impérieuse, il est conduit à déconstruire mythe ou légende et à remettre ainsi en cause l'exploitation du passé par le présent. Selon lui, cette attitude est en contradiction complète avec l’hypothèse d’un génocide : on ne peut vouloir massacrer un peuple, et organiser l’évacuation et l’aide à une portion de ce même peuple[430]. Environ 200 à 500 insurgés trouvent la mort, tués au combat ou exécutés après avoir été capturés[43],[33],[40]. Forts de près de 10 000 hommes, les Vendéens attaquent Challans le 6 juin, mais ils sont repoussés par la garnison, qui ne compte pourtant que quelques centaines d'hommes[218]. Se puede citar a Jean Tulard,[47]​ Emmanuel Le Roy Ladurie[48]​ o Stéphane Courtois, director de investigación en el CNRS, especialista en historia del comunismo. Si pour l’historien ce sont les Bleus qui, dès 1793, construisent l’image d’une Vendée symbole de la contre-révolution, ce sont les Blancs et leurs successeurs qui utilisent et retournent cette image aux XIXe et XXe siècles pour asseoir une identité régionale. Au début des années 1950, Marcel Faucheux soutient que les causes profondes de l’insurrection sont à chercher bien au-delà de la constitution civile du clergé, de l'exécution de Louis XVI ou de la levée en masse, qu'elles doivent être reliées à ce qu’il nomme le « paupérisme Vendéen ». La Vendée campesina y católica, levantada en armas contra los "sin Dios" jacobinos, En Nantes, Carrier privilegia el avituallamiento del ejército sobre el de los civiles no sólo los vendeanos, sino también el de los patriotas de Nantes, que se someten a. Franck D. Chalk, "Definitions of Genocide and their implications for prediction and prevention", Jean-Clément Martin, "Un génocide? Si les réfugiés du printemps étaient bien accueillis, le nombre des suivants, les difficultés d’approvisionnement qu’ils causent, et la suspicion à leur égard refroidissent un peu l’accueil. A partir de estos datos, explica en su conclusión general porque está convencido de que las matanzas cometidas durante la guerra de Vandea constituyen, en su opinión, un genocidio, explorando en los textos de los actores y testigos de la época de los extractos interpreta que había una voluntad genocida por parte de los republicanos. Pour conclure, l'insurrection vendéenne ne naît pas d'une cause unique, mais de multiples facteurs, tous liés à un mécontentement populaire grandissant. Charette établit son nouveau quartier-général à Belleville[219]. Poirier de Beauvais, délégué par Stofflet, et Cormatin, le major-général de Puisaye, chef des chouans de Bretagne, sont également présents[234]. En mai, Charette reçoit à Belleville le marquis de Rivière, aide de camp du comte d'Artois, frère de Louis XVI, qui l'informe de l'imminence d'un débarquement royaliste en Bretagne avec l'aide de l'Angleterre et qui lui demande de faire diversion pour faciliter cette opération[254]. Los republicanos intentan recuperar la ventaja. Or, pour lui, la question se pose « de savoir quelle est la nature de la répression mise en œuvre par les révolutionnaires »[411]. Le 1er décembre 1794, plusieurs députés du Maine-et-Loire, des Deux-Sèvres et de la Vendée présentent un exposé dans lequel ils dénoncent les massacres des populations civiles et préconisent une amnistie préalable des insurgés et de leurs chefs[227],[228]. Elles s'en emparent après un bref combat, mais les insurgés s'enivrent en fêtant leur victoire et sont surpris dans la soirée par un petit détachement républicain qui provoque la panique dans leurs rangs et les met en déroute[43],[33],[40]. Dans de nombreuses municipalités rurales, entre les mains de royalistes, on interdit aux « patriotes » réfugiés dans les villes de revenir, y compris par la force[251]. 1794 les Mauges sont traversées par les colonnes infernales, commandées par le Général TURREAU. Para el lacuestión es "saber cual es la naturaleza de la represión desarrollada por los revolucionarios". Salut et fraternité, « Il est bien étonnant que la Vendée ose réclamer des subsides, après avoir déchiré la patrie par la guerre la plus sanglante et la plus cruelle. Les Vendéens ne sont plus que 10 000 à 15 000, dont 6 000 à 7 000 soldats, ils doivent fuir vers l'ouest. Convaincus que les généraux vendéens ne cherchent qu'à gagner du temps, les représentants en mission envisagent de lancer une vaste opération pour les faire arrêter, mais ils doivent renoncer par manque de troupes[253]. En su libro, trata de modo conjunto la represión, destacando, por el lado republicano, el papel del general Louis Marie Turreau, organizador de las "columnas infernales", y de los delegados Carrier en Nantes, Nicolas Hentz y Marie Pierre Adrien Francastel y Angers, ciudades en las que se agolparon miles de prisioneros vendeanos. Le 6 juin, une avant-garde de 1 500 républicains est vaincue à Vihiers, le 7 Doué-la-Fontaine est envahie et le 8 des renforts républicains venant de Thouars sont dispersés à Montreuil-Bellay. [49]​ Este último explica que Lenin comparó a "los Cosacos con la Vandea durante la Revolución francesa y los expuso con un programa que Gracchus Babeuf, el "inventor" del Comunismo moderno, calificó en 1795 (sic) de "populicidio".»[50]​. Ce dernier, à la tête de 3 000 hommes, attaque et bat les troupes de Quétineau aux Aubiers le 13 avril. D'après des témoignages de soldats ou d'agents républicains, des femmes et des enfants sont coupés vifs en morceaux ou jetés vivants dans des fours à pain allumés[195],[196]. Ainsi, le général Moulin fait évacuer scrupuleusement les habitants jugés patriotes[192]. Alors qu'ailleurs en France les révoltes contre la levée en masse sont réprimées, un territoire insurgé, appelé la « Vendée militaire » par les historiens, se forme au sud de la Loire-Inférieure (Bretagne), au sud-ouest du Maine-et-Loire (Anjou), au nord de la Vendée et au nord-ouest des Deux-Sèvres (Poitou). [45]​, La tesis de Reynald Secher fue retomada y apoyada en especial por Pierre Chaunu, profesor emérito de la Universidad Paris IV, que formaba parte del jurado ante el que el joven doctorando presentaba su tesis, en un artículo aparecido en La Croix el 29 de junio de 1986. Stofflet prend la tête de l'armée dont les effectifs sont renforcés de jour en jour par les paysans fuyant les colonnes de Turreau. Condamné à mort par un conseil de guerre le 29 avril, Marigny, malade, est fusillé à Combrand le 10 juillet par des hommes de Stofflet[212]. [33]​, El domingo 3 de marzo, en Cholet, jóvenes del cantón reunidos por el distrito "para ser informados acerca de las modalidades de reclutamiento del contingente local para la leva de los 300.000 hombres" manifiestan su negativa a marcharse. Le 5 décembre, le général vendéen prend d'assaut le camp des Quatre-Chemins à L'Oie, mais la contre-attaque de Watrin le met en fuite quelques heures plus tard[300]. Le lendemain, la troupe gagne Les Herbiers où Charette est élu général en chef par les officiers malgré l'hostilité de ses rivaux Joly et Savin. Les décisions arrêtées marquent une volonté d'apaisement et une recherche de composition avec la République[295],[271]. Les républicains sont victimes de vexations et de brutalités, volés, voire assassinés lors de règlements de compte où se mêlent questions politiques, vengeance personnelle et simple criminalité. En 1789, les paysans de l'Ouest accueillent plutôt favorablement les débuts de la Révolution. Pour gagner en mobilité, elles n'emportent avec elles aucune pièce d'artillerie et opèrent de manière à s'assister mutuellement, avec des ordres de marche précis[286]. Más allá de la tesis del complot "clérigo-nobiliario", Jean-Clément Martin cuestiona junto a Roger Dupuy, el antagonismo entre "ciudad" y "campo" (muy anterior a la Revolución) y la diferencia de naturaleza que existiría entre los orígenes de la chuanería y las causas de la guerra de Vandea. [28]​ El domingo siguiente, la protesta se extiende. Rejoint par seulement 400 hommes et par Sapinaud, il attaque sans succès Chemillé, puis perd son quartier-général de Neuvy-en-Mauges[308],[310],[311],[312]. D'après ses assertions, les membres du comité de salut public, autour de Robespierre, visant l'établissement de la plus grande égalité possible en France (projet dont il se déclare par ailleurs solidaire), auraient planifié la mort d'un grand nombre de Français[369]. Mientras los Bretones son derrotados por Canclaux en el extremo occidental, por Beysser entre Rennes y Nantes (la agitación no se reanudará hasta finales de 1793, con la chuanería), los disturbios reprimidos en Alsacia, al sur del Loira, los rebeldes consiguen no solo desbordar a la Guardia Nacional, poco numerosa, y a apoderarse de varias ciudades, sino que derrotan a una columna de soldados profesionales el 19 de marzo.[30]​. Le général républicain se retrouve ainsi obligé d'abandonner les localités conquises et se replie sur La Mothe-Achard entre le 20 et le 22 avril[73],[74]. Ne parvenant pas à choisir un nouveau généralissime, les quatre chefs prêtent serment, le sabre haut, de s'assister mutuellement. ", in, Charles-Melchior Arthus, marqués de Bonchamps, Memorias de la marquesa de la Rochejaquelain, La memoria colectiva. Pour assurer la cohésion de l'ensemble, les chefs — issus de la petite noblesse — élisent le 12 juin un roturier, Cathelineau, « généralissime » de l'Armée catholique et royale. Progressivement des structures militaires se mettent en place[63]. En tout état de cause, juridiquement, le nombre de victimes ne change pas la nature du crime, seules la nature des actes, l'intention et les moyens comptent[363]. Si certains le soutiennent tels que Francastel, Hentz, Garrau[188], et Carrier[197], d'autres comme Lequinio, Laignelot, Jullien, Guezno et Topsent réclament son départ[198]. A pesar de que tienen puntos comunes, hay que diferenciar las guerras vendeanas de las acciones de la chuanería. Entre 1801 et 1804, à la demande du Ministère de l'Intérieur, les préfets et les secrétaires généraux des quatre départements concernés dressent un premier bilan démographique en soustrayant la population dénombrée en 1800 de celle de celle dénombrée en 1790 ou 1791. Cathelineau est mortellement blessé et les paysans, démoralisés, se retirent. View Guerres De Vendée Research Papers on Academia.edu for free. Petite monnaie caricaturale des réflexions de François Furet, l'image d'une révolution totalitaire, antichambre du Goulag fait florès. À partir d'octobre, des cantons entiers remettent leurs armes et font leur soumission à la République[294],[281]. [63]​, Siguiendo su análisis, las atrocidades cometidas durante la guerra de Vandea se explican, por parte republicana, por la mediocridad en el reclutamiento, que deja a los soldados abandonados "a su propio miedo". Les réfugiés républicains craignent les représailles des Blancs ainsi que le décret du Conseil supérieur de Vendée du 24 juillet 1793, qui exige le serment de fidélité à Louis XVII, ou ordonne le départ avec interdiction de revenir. Les troupes républicaines de Beysser et Mieszkowski occupants ces deux villes sont mises en déroute. Il reprend ainsi sans distance critique le discours des thermidoriens à la recherche de boucs-émissaires afin de faire oublier leur propre orientation avant la chute de Robespierre, et de se débarrasser d’une partie des Montagnards devenus encombrants[429]. Les représentants lui offrent les mêmes conditions de paix qu'à Charette et Sapinaud, mais il refuse catégoriquement de reconnaître la République[237]. Le 10 décembre, la ville est prise après un court combat[123]. Puis, analysant les réactions des trois communes face à la Révolution, elle remarque que les notables de Neuvy et du Pin sont confirmés après 1789 à la tête des communes, tandis qu'à Sainte-Christine, commune ouverte au commerce, avec de nombreux artisans, de nouvelles catégories sociales se mêlent aux anciennes. » Mais quatre jours plus tard, il intervient de nouveau à la suite de la stupéfaction causée par la prise de Cholet par les Vendéens le 8 de ce mois. Le 4 avril, une « armée d'Anjou » et une « armée du Poitou et du Centre » sont établies[63]. Dans le no 34 du 6 novembre 1795, il explique : « Osons dire que la Révolution, malgré tous les obstacles et toutes les oppositions, a avancé jusqu'au 9 thermidor et qu'elle a reculé depuis. Pas question de dérapage, de tyran ou de « génocide », ni de « proconsuls » pour les représentants en mission... »[428].S'attachant à la question mise au programme des concours du CAPES et de l’agrégation d’histoire en 2005-2006, telle qu'elle a été traitée dans le manuel dirigé par Patrice Gueniffey, dans l'article « À propos des révoltes et révolutions de la fin du XVIIIe siècle. [28]​ La Vandea solo es una de las provincias que se rebelan 1793, como lo es el valle del Ródano, en donde la agitación es endémica desde 1790 y se prolongará hasta 1818. Le commandement est réorganisé : Suzannet succède à Charette à la tête de l'armée du Bas-Poitou et du Pays de Retz à l'ouest de la Vendée et au sud de la Loire-Inférieure, Sapinaud reprend son commandement de l'armée du Centre, tandis que Charles d'Autichamp, succède à Stofflet à la tête de l'armée d'Anjou[326]. Le 25 juin, une flotte britannique arrive en vue de la presqu'île de Quiberon, en Bretagne, et débarque deux jours plus tard à Carnac une armée d'émigrés qui est accueillie par plusieurs milliers de chouans[257]. Hoche adopte une politique pragmatique[286],[288]. Plus grave, en janvier 1791 dans la commune de Saint-Christophe-du-Ligneron (au sud de Nantes, près de Machecoul), des conflits se développent autour de l'opposition à la constitution civile du clergé, et l'intervention des gardes nationales chargées du maintien de l'ordre provoque les premiers morts de la Vendée ; mais le conflit ne dégénère pas[21]. La Révolution assimilée à la Terreur et au bain de sang devient le mal absolu. Igualmente, evalúa la densidad de población entre 700 y 790 habitantes por legua cuadrada y por generalidad. L'armée vendéenne quitte Thouars le 9 mai et poursuit vers le sud[84] : le 11 elle s'empare de Parthenay et le 13 La Châtaigneraie est prise et pillée après un combat contre les 3 000 hommes du général Chalbos. Los chuanes de Ille-et-Vilaine, reclutan sus efectivos fundamentalmente entre los medieros. Dans le no 24 du Tribun du peuple, déjà, il dénonce les thermidoriens qui parlent du gouvernement révolutionnaire « comme du saint des saints avec vénération et respect et avec indignation du gouvernement de Robespierre, de la Terreur et du système de sang, comme si tout cela n'était pas une seule et même chose ! Toutefois, selon lui et sans donner les preuves de l’affirmation, la Vendée aurait été non seulement une révolte de grande étendue, mais également un instrument entre les mains des Montagnards dans leur lutte contre les Girondins avant le 2 juin 1793. Dumas passe alors à l'Armée des côtes de Brest et Canclaux est rappelé à la tête de l'Armée de l'Ouest[226]. Dans son livre, il s'attache à l'ensemble de la répression de l'insurrection vendéenne, dont les acteurs principaux, côté républicain, sont le général Turreau, organisateur des « colonnes infernales », d'une part, les envoyés en mission Carrier à Nantes, Hentz et Francastel à Angers, villes où sont entassés des milliers de prisonniers vendéens, d'autre part. Les cahiers de doléances de la Bretagne, du Maine, de l'Anjou ou du bas Poitou témoignent de l'hostilité de la paysannerie à l'égard des survivances du système féodal, de même que l'élection de députés patriotes, que confirment les violences antiseigneuriales de la Grande Peur ou les violences répétées contre les aristocrates et leurs demeures en 1790 et en 1791. Le 15 octobre les Mayençais attaquent la ville. Au total, en Maine-et-Loire, d'après Jacques Hussenet, sur 11 000 à 15 000 personnes emprisonnées, 8 500 à 9 000 trouvent la mort, dont 2 000 à 2 200 dans les prisons ou lors de transferts de prisonniers[166],[167]. Le 30 mai, les insurgés se structurent davantage en formant à Châtillon-sur-Sèvre un Conseil supérieur de la Vendée chargé d'administrer les territoires conquis et en réorganisant l'armée en trois branches[63] : Armée « populaire », elle trouve un soutien tant au niveau logistique que militaire parmi le petit peuple des campagnes. Article 14 : Les biens des Rebelles de la Vendée sont déclarés appartenir à la République ; il en sera distrait une portion pour indemniser les citoyens qui seront demeurés fidèles à la patrie des pertes qu'ils auraient souffertes. Face à de telles forces, les chefs vendéens, Suzannet, d'Autichamp et Sapinaud, signent la paix à Montfaucon-sur-Moine le 18 janvier 1800[330]. Le général vendéen lui répond avec enthousiasme le 10 juin[255]. Deux jours tard, ses troupes tendent une embuscade à un convoi près de Beaulieu-sous-la-Roche[261]. Le nombre des victimes est estimé à environ 200 000 morts, dont environ 170 000 pour les habitants de la Vendée militaire, soit entre 20 et 25 % de la population du territoire insurgé. Le 24 juin, Charette rassemble ses divisions à Belleville et annonce à ses troupes la rupture du traité de La Jaunaye et la reprise de la guerre[258]. Outre la thèse du complot « clérico-nobiliaire », Jean-Clément Martin remet en cause, avec Roger Dupuy, l'antagonisme « ville - campagne » (très antérieur à la Révolution) et la différence de nature qui existerait entre les origines de la Chouannerie et les causes de la guerre de Vendée[14]. Puis il s'empare de Beaupréau et reprend Chemillé. Le 4 août, le clergé réfractaire vendéen tient un synode au Poiré à l'initiative du vicaire général Jean Brumauld de Beauregard, envoyé par Marie-Charles-Isidore de Mercy, évêque de Luçon[295],[271]. Les réfugiés sont essentiellement des femmes (environ les deux tiers) et des enfants (près de la moitié)[341] : les hommes sous-représentés sont probablement engagés d’un côté ou de l’autre. Pour ce faire, il puise dans les documents d'époque des passages tirés des discours, proclamations, lettres ou rapports laissés par plusieurs personnalités révolutionnaires, qu'il interprète comme l'aveu de volontés génocidaires. Les royalistes sont devant la ville le 3 décembre mais ils ne parviennent pas à venir à bout de ses 4 000 défenseurs. Tout le monde aujourd'hui défend l'héritage des droits de l'homme. Au cours de cette période, des centaines de villages ont été brûlés, dévastés et 20 000 à 50 000 civils vendéens massacrés par les colonnes infernales, certains réussissant à se réfugier dans les bois et les bocages que comporte le pays[201],[202],[203]. Le 16 octobre, les Anglais font un petit débarquement à Saint-Jean-de-Monts pour prendre contact avec Charette, mais le comte d'Artois renonce à venir le joindre[281],[282]. En janvier, il signe la paix avec le général Willot, mais l'accord, jugé trop conciliant, est dénoncé par Hoche[304],[305]. Le 17 octobre, 40 000 Vendéens se lancent à l'attaque de Cholet. Charette, Sapinaud et Cormatin signent le traité, mais ils ne sont pas suivis par certains de leurs officiers hostiles à la paix[236]. A continuación, explicaremos la organización del ejército del centro, según la descripción que de él se hace en el libro Memorias de la marquesa de la Rochejaquelain: " El señor d'Elbeé mandaba a los campesinos de los alrededores de Beaupréau y Cholet. Ce secteur fertile dans l'ouest de la France est en effet demeuré pratiquement inhabité pendant 25 années »[384]. Hervé Coutau-Bégarie et Charles Doré-Graslin (dir. Le 21 mars, toutes les bandes de l'Anjou se réunissent à Chemillé, formant au moins 20 000 hommes, et marchent sur Chalonnes-sur-Loire[39]. Thierry Trimoreau (sous la direction de) : La dernière modification de cette page a été faite le 6 février 2021 à 11:13. Dans le même ordre d'idées, dans le compte-rendu qu'il consacre au manuel La Révolution française d'Éric Anceau, Serge Bianchi, professeur à l’université de Rennes II, relève que « la présentation des Enragés, la personnalité complexe de Robespierre, la guerre de Vendée ne sont pas caricaturées. C'est le début de la « Virée de Galerne » (francisation de gwalarn, nom du vent de noroît en breton). En juillet, elles envoient à Paris deux émissaires, Béjarry et Scépeaux, qui sont reçus par la Convention nationale, mais la reprise d'armes de Charette fait échouer les négociations[262],[250]. Suivant les ordres de destructions, les républicains incendient les bourgs et les villes qu'ils traversent. Ces troupes se livrent ainsi aux pillages, massacrent la population civile, violant et torturant, tuant femmes et enfants, souvent à l'arme blanche pour ne pas gaspiller la poudre, brûlant des villages entiers, saisissants ou détruisant les récoltes et le bétail. Alors qu'au nord de la Loire l'insurrection contre la levée en masse est matée dès mars 1793, au sud du fleuve les insurgés prennent l'avantage sur les troupes républicaines et s'organisent en « armée catholique et royale » à l'intérieur du territoire qu'ils contrôlent ; ces guerres opposent deux armées encadrées. Dos días antes, el 10 de junio, Charette, que acabó imponiéndose a las otras bandas del Marais bretón, después de varios fracasos en abril, se apodera de Machecoul, defendida por 1.300 soldados, a la cabeza de unos 15.000 hombres. À Nantes, malgré la division entre le peuple (montagnard) et la bourgeoisie du négoce et du barreau (girondine), les habitants refusent d'évacuer la ville, comme l'ordonnent les envoyés en mission. Elle fut étroitement liée à la Chouannerie, l'ensemble de ces deux conflits étant parfois désigné sous le nom de « guerres de l'Ouest ». Les 800 défenseurs se rendent, mais un quart d'entre eux sont fusillés cinq jours plus tard à Bouin, sur ordre de Pajot, sous le prétexte d'une tentative d'évasion[115]. Puis, maîtres du gouvernement, ils se seraient livrés à la fureur purificatrice qui les caractérisait. La bataille, dite du « Pont-Charrault » a impact psychologique immense qui porte jusqu'à Paris[53]. Cette conception a été reprise à la fois par des écrivains royalistes et catholiques, pour la « magnifier », et des écrivains et historiens républicains, au XIXe et au début du XXe siècle. Jean-Clément Martin, "La Révolution a coupé la France en deux", Madame de la Rochejaquelein, viuda de uno de los jefes vendeanos explica en sus, Jean-Clément Martin, "La Révolution a coupé la France en deux", en. [8]​ La denominación francesa es Guerre de Vendée. Le lendemain, les républicains attaquent la ville. ». La Vendée (somme toute peu concernée du fait d'une faible ponction) ne représente que l'une des provinces qui s'insurgent en 1793, comme la vallée du Rhône, où l'agitation est endémique depuis 1790 et va durer jusqu'en 1818[20]. Esta página se editó por última vez el 15 ene 2021 a las 17:35. Blessé, il tente de se cacher des colonnes républicaines en trouvant refuge au Val de Morière, à Touvois, avec les quelques centaines d'hommes qui lui reste. Les Vendéens font également 11 000 prisonniers et s'emparent d'un immense butin : 15 000 fusils, 60 canons et 50 000 livres de poudre[89]. [58]​, También fue criticada por el australiano Peter McPhee, profesor de la Universidad de Melbourne, especialista de historia contemporánea de Francia, quien retoma la tesis de Pierre Chaunu al hablar de un vínculo entre la Revolución francesa y el totalitarismo comunista, a la vez que destaca las incongruencias del análisis de Reynald Secher en lo relativo al número de víctimas y destaca la escasa importancia que se da a las matanzas de republicanos por parte de los insurrectos en sus libros; además, hace ver que Reynald Secher, en sus trabajos posteriores, no tuvo en cuenta ninguno de los trabajos universitarios posteriores que matizaban o contradecían sus análisis.

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